/fdata%2F3777011%2Favatar-blog-1150864181-tmpphp0xPNDF.jpeg){kind=avatar}
/idata%2F3777011%2Fcyclonomas-logo-001.jpg "Bayernd77 est mort, vive Cyclonomas !"){kind=logo}
/idata%2F3777011%2Fdivers%2Fcosmos1-copie-1.jpg "Avec les Cyclocosmos au Pérou")
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fdelicate%2Fimages%2Fheader%2Fheader.jpg "Passionnants")
/idata%2F3777011%2Fdivers%2Fmetro-velo.jpg "Le discours .... et la réalité")
/idata%2F3777011%2Fpreparation-2012%2Fpreparation-011.jpg "Contre le froid")
/idata%2F3777011%2Fpreparation-2012%2Fpreparation-005.jpg "Lourds mais utiles")
/idata%2F3777011%2Fpreparation-2012%2Fpreparation-009.jpg "Histoire de t-shirts . . . . . . la suite !!")
/idata%2F3777011%2Fweekend-velo3%2Ffestival2012-affiche.jpg "Festival CCI 2012")
/idata%2F3777011%2Fweekend-velo3%2Fl-aigle-032.jpg "Se rhabiller pour l'hiver")
C'était beau, c'était super
mercredi 20 avril 2011
Melle - Poitiers - Paris - Achères - Conflans
86,41 km parcourus
Ce matin c’est un peu la grasse matinée après une nuit écourtée. Elsa et David ne travaillent pas aujourd’hui, nous pouvons donc nous activer doucement mais tout en essayant de ne pas trop traîner, le TGV étant à 18h à Poitiers. Nous avons 7 heures pour parcourir 70 km, ça va, c’est jouable.
C'est tout nouveau, tout beau et inauguré par Ségolène R. en personne il y a quelques jours de cela.
Elsa nous accompagne les 1ers kilomètres, histoire de nous mettre sur la bonne voie, une ancienne voie de chemin de fer reclassée en coulée verte. La 1ère heure est un véritable enchantement sur les routes vicinales de la Vienne profonde. En tout et pour tout, nous croisons un véhicule, le facteur. Le ciel bleu, les champs verts ou encore nus, le colza qui brille, c’est beau. Il faut en profiter, demain nous retrouvons la grisaille de la banlieue parisienne.
La source de la Sèvre niortaise.
Pendant que mon père s'approvisionne dans une épicerie (vous l’avez deviné, il est midi !!), je discute avec un couple cyclo francilien qui se rend à …. St Jacques de Compostelle bien sûr ! Dans le même temps, un autre cyclo assez âgé passe sans prendre le temps de s’arrêter. Trop pressé peut être ? Pas de doute nous sommes sur un chemin très et trop couru à mon goût. La saison aux pèlerins est ouverte.
Comment font-ils pour ne pas avoir chaud avec leurs tenues noires aux manches et jambes longues ? 
Un arbre solitaire.
Jusque là nous avons bien roulé, le terrain étant assez facile. Je laisse mon père devant maintenant, c’est lui qui imprime le rythme, les jambes tournent bien et ils ne coincent (presque) plus dans les côtes. Je me contente de le suivre et de lui indiquer la route. Après Vivonne cependant, les dernières difficultés du voyage apparaissent. Non mais, on n’allait pas s’en tirer comme cela ! Le soleil tape fort, je commence à suer dans les montées, signe que l’effort est un peu plus important.
Mais c'est le far west ici !!
Nous arrivons à Poitiers vers 16h, faisons un petit tour dans la vieille ville et dégustons encore une bière fraîche. Mais je suis pressé de me rendre à la gare, trop de monde, trop de touristes, j’asphyxie.
Le château d'Aigné.
Le TGV part de Poitiers, nous avons donc tout le temps de charger les vélos et bagages, quel luxe ! Cette fois-ci il n’y a aucun problème de place pour les vélos.
Après 1h45 de trajet, nous sommes de retour à Paris et ajoutons 4 km au compteur pour rejoindre la gare RER. Ca y est, c’en est fini de ce voyage-découverte.
Nous assistons encore au coucher de soleil à Paris, comme au départ !
La journée vue par mon père : La nuit a été courte, on a roulé à une bonne moyenne. C’était peut être le jour le plus chaud et justement dans les côtes les jambes commençaient à chauffer sur la fin.
